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Levure de riz rouge : l’anti-cholestérol

Contrôler son taux de cholestérol naturellement. C’est possible. Il existe des ingrédients, tels que la levure de riz rouge qui peuvent en effet agir contre le mauvais cholestérol.

Cet ingrédient a longtemps été utilisé dans des remèdes traditionnels chinois. D’ailleurs, en Asie, la levure de riz rouge est un produit alimentaire. C’est la levure qui provoque la fermentation du riz rouge. Elle est séchée et réduite en poudre pour être ensuite consommée.

Dans certains cas, elle est ajoutée aux plats comme un rehausseur de goût et se marie avec des ingrédients, tels que le poisson, le tofu, les viandes et certains légumes.

Pour ce qui est de ses bienfaits, la levure de riz rouge est devenue un anti-cholestérol avec la monacoline K qu’elle contient. Il s’agit d’une molécule qui se rapproche de celle des statines, les médicaments anti-cholestérol.

« Ces monacolines K, qu’on retrouve dans la levure de riz rouge, ont un rôle très précis, dont celui d’inhiber la synthèse du cholestérol », explique Ashvin Bundun, pharmacien d’Hyperpharm.

Elle est aussi connue pour favoriser une bonne circulation du sang tout en soulageant l’indigestion et la diarrhée également. Elle aide aussi à mieux contrôler la pression artérielle.

On peut retrouver cet ingrédient sous forme de capsules. Parmi les produits disponibles avec la levure de riz rouge, on trouve : « For Cholesterol Free », en vente dans les pharmacies. Les ingrédients sont de source végétale.

Pour baisser son taux de mauvais cholestérol ou encore réguler son taux de sucre, il suffit de consommer une capsule par jour pendant un à deux mois. Un avis médical est, toutefois, recommandé pour avoir le meilleur dosage.

Bon vs mauvais cholestérol

Le cholestérol joue un rôle très important dans le corps. Par contre, il existe deux types : le bon et le mauvais cholestérol. L’organisme est régulé par le bon cholestérol (HDL). Si le taux du mauvais cholestérol (LDL), ou connu comme lipoprotéines à faible densité, est trop élevé dans le corps, il peut augmenter le risque d’avoir un accident cardiaque (infarctus) ou vasculaire cérébral (AVC).

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